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Coupe du Monde de la FIFA: Gareth Bale à la rescousse alors que le Pays de Galles arrache le match nul des États-Unis

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Bale a frappé à la maison un coup de pied à la 82e minute pour briser le cœur des Américains quelques instants après avoir obtenu le penalty lorsque le défenseur Walker Zimmerman l'a percuté

Al-Rayyan, Qatar: Gareth Bale a marqué un penalty tardif pour arracher un match nul 1-1 avec les États-Unis lors du premier match de Coupe du monde du Pays de Galles en 64 ans lundi.

Le skipper gallois Bale a frappé à la maison un coup de pied à la 82e minute pour briser le cœur des Américains quelques instants après avoir obtenu le penalty lorsque le défenseur Walker Zimmerman s'est écrasé sur l'ancienne star du Real Madrid.

Le drame des pénalités a annulé le superbe but de Tim Weah en première mi-temps pour les Américains, qui avait menacé de ruiner l'ambiance festive entourant la première apparition tant attendue du Pays de Galles en Coupe du monde depuis la finale de 1958 en Suède.

L'égalisation de Bale a déclenché des rugissements d'un contingent important et bruyant de fans du Pays de Galles dans une foule de 43 418 fans au stade Ahmad Bin Ali à la périphérie de Doha.

Bale a déclaré par la suite qu'une discussion d'équipe animée à la mi-temps par le manager Rob Page avait contribué à inspirer le Pays de Galles après une performance terne en première mi-temps.

"Évidemment un match difficile. La première mi-temps n'était pas comme nous voulions jouer », a déclaré Bale.

« Les États-Unis ont bien joué et nous avons mal joué. On a vraiment bien joué en deuxième mi-temps.

"Bon point, mais nous aurions aimé en avoir trois."

Page a rendu hommage au nous de Bale, âgé de 33 ans, en remportant le penalty.

"Il est très doué pour trouver ces espaces", a déclaré Page. "Il est intelligent, il a une tête sage pour occuper ces postes et il a utilisé toute sa sagesse là-bas."

Jusqu'au penalty tardif, il semblait que le Pays de Galles se dirigeait vers une défaite, luttant pour briser une équipe américaine habile et énergique qui est la deuxième plus jeune du tournoi.

L'entraîneur Gregg Berhalter a admis que son équipe avait été découragée par son incapacité à s'accrocher à la victoire alors qu'ils envisagent maintenant un match intimidant du groupe B avec l'Angleterre vendredi.

"Marquer un point lors du premier match n'est pas la fin du monde", a déclaré Berhalter.

"En entrant dans les vestiaires après le match, on pouvait voir la déception du groupe. Les gars ont travaillé dur.

"En fin de compte, nous sommes tombés un peu en deçà de la victoire."

Le Pays de Galles a été dominé pendant de longues périodes de la première mi-temps, la décision du manager Page de ne pas commencer à dominer l'avant-centre Kieffer Moore les privant d'un débouché offensif crucial.

Au lieu de cela, ce sont les États-Unis qui ont fait toutes les premières courses, avec Christian Pulisic de Chelsea une menace constante.

Le début de jeu positif a presque abouti à un but lorsque le centre fouetté de Weah a presque forcé Joe Rodon à se diriger vers son propre filet.

L'exubérance américaine a conduit à une rafale de cartes pour les Américains au début, avec Sergino Dest et Weston McKennie tous deux réservés pour des tacles sauvages sur Neco Williams.

Le jeu de presse implacable des États-Unis signifiait que le Pays de Galles était incapable de construire quoi que ce soit au milieu de terrain, où Aaron Ramsey et Ethan Ampadu disposaient rarement de temps ou d'espace.

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